25/12/2008 | Une goutte d'or alchimique
Au coeur de la matière, dans une goutte d'Or alchimique se trouve la lumière...
16:59 Publié dans Insolite, Reflets | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : art, photo, photographie, photos, reflet, image, insolite
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Commentaires
Une belle rondeur, quelques fissures, failles résiduelles attestant du travail qui s'opère, l'annonce déjà de magnifiques pépites et quelques traces d'argent... merveilleuse allégorie de l'alchimie spirituelle, chère Ariaga...
Écrit par : Mutti | 02/01/2009
Un oeil de dragon endormi & gardien de trésor, oui !
Bises, Merci et continue en 2009 de nous alchimiser la nature pour notre plaisir de la découverte
Écrit par : Lung Ta | 03/01/2009
Aucun problème pour ce qui concerne le lien! Sur Photoeil, il n'y a aucun lien car ce blog est conçu comme une oasis perdue au milieu du désert sans pistes qui y mènent...
Tous les liens sont mis sur too banal. Et là, tu y figures en tête de liste des blogs photos.
Avec toute ma sympathie...
Écrit par : photoeil | 07/01/2009
De la poudre d'or ...aux couleurs éclatantes .
Écrit par : Anne Marie | 11/01/2009
Très interessant ton regard où la géométrie renvoie à du sens, une rencontre entre le Haut et le Bas, un reflet de l'infini sur terre, un accompagnement certain en paix, dans notre quotidien...
Écrit par : patrick | 14/01/2009
magnifique...
besos
tilk
Écrit par : tilk | 16/01/2009
Belle image, profonde et séduisante. Elle évoque pour moi l’œil doré du crapaud et, aussitôt, le poème, aux accents à mon sens assez alchimiques, d’un certain Tristan Corbière né au manoir de Coat Congar… Le crapaud achevé n’est-il pas issu de métamorphoses succesives et ne cache-t-il pas plus d’un prince sous son humble (ou répugnante) apparence ?
Le crapaud
Un chant dans une nuit sans air...
La lune plaque en métal clair
Les découpures du vert sombre.
... Un chant ; comme un écho, tout vif
Enterré, là, sous le massif...
- Ça se tait : Viens, c'est là, dans l'ombre...
- Un crapaud! - Pourquoi cette peur,
Près de moi, ton soldat fidèle !
Vois-le, poète tondu, sans aile,
Rossignol de la boue... - Horreur ! -
... Il chante. - Horreur !! - Horreur pourquoi ?
Vois-tu pas son oeil de lumière...
Non : il s'en va, froid, sous sa pierre.
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Bonsoir-ce crapaud-là c'est moi.
Ce soir, 20 juillet.
(Tristan Corbière)
Écrit par : Amezeg | 31/03/2010
Je n'y aurai jamais pensé. Merci de m'enrichir avec ce crapaud qui va s'installer dans un recoin du Laboratoire.
Écrit par : ariaga | 01/04/2010